De Moodymann à Theo Parrish, comment J.A.W. Family a imposé la house soulful à Paris
Thomas Vermynck : Tout a commencé il y a une quinzaine d'années. Les premières influences, pour nous, c'était clairement la scène de Detroit, Moodymann, Andrés, ça fait partie des premiers trucs qu'on a écouté, comme beaucoup. À l'époque on pensait qu' Andrés, c'était Moodymann, on savait pas trop... (Rire.)